Communiqué de presse

Notre réaction suite à la publication du rapport IGAS

Nous tenons à saluer le travail essentiel de transparence de l’IGAS, dont le rapport met très clairement en lumière la nécessité de revaloriser les métiers de la petite enfance, sujet sur lequel nous sommes engagés depuis de nombreuses années. Ce rapport souligne le caractère fondamental de nos métiers dans l’éducation des jeunes enfants et l’immense responsabilité qui y est associée. 

Entreprise à mission, Babilou est convaincu que la crèche est bien plus qu’un mode de garde : c’est un lieu et une responsabilité d’éducation durable, car les 1000 premiers jours de l’enfant sont particulièrement décisifs dans leur développement futur.

Conscients de la nécessité de toujours mieux valoriser le travail remarquable réalisé par les professionnels de la petite enfance, nous travaillons depuis plusieurs mois non seulement avec nos autorités de tutelle, mais aussi à notre échelle sur un Livre Blanc, rédigé conjointement par le CSE, la direction de Babilou et des collaborateurs en crèche. Ce travail collectif vient nourrir la réflexion entamée depuis plusieurs années sur 3 thématiques essentielles : l’attractivité du secteur, l’amélioration des conditions de travail et la formation. Des combats que nous portons concrètement sur le terrain à travers l’école centrale de puériculture Paul Strauss et la création d’une cellule d’information des situations préoccupantes (CISP) visant à révéler tout risque de maltraitance dont seraient victimes les enfants accueillis au sein de nos crèches.

Alors que le gouvernement estime qu’il manque aujourd’hui 200 000 places d’accueil en crèche, il est important de rappeler que nous assurons une mission de service public dont l’objectif est de proposer aux familles une capacité d’accueil, elle-même définie et encadrée par les autorités publiques.

C’est un métier passionnant et une très grande responsabilité. Nous devons collectivement nous placer dans une logique d’amélioration permanente. C’est notre défi quotidien.